Démences et maladie d’Alzheimer: une approche personnalisée s’impose
OPINION. Il y a peu, «Le Temps» publiait une tribune du docteur Fabienne de Bilbao questionnant l’utilité des médicaments pour le traitement de la maladie d’Alzheimer et la réalité même de cette pathologie. Le professeur Julius Popp de l’Université de Genève présente l’état de la recherche à l’occasion de la journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, le 21 septembre
Il faut différencier les difficultés légères d’une part et les démences avérées d’autre part. Dans le premier cas, il s’agit de symptômes très légers, sans répercussion sur la vie quotidienne ou alors de problèmes de mémoire ressentis, mais sans déficit avéré. Ce sont parfois des signes précurseurs d’une maladie d’Alzheimer.
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Alzheimer: l’impossible consensus
La France a décidé de ne plus rembourser les médicaments anti-alzheimer, jugés peu efficaces. En Suisse, les autorités vont les réévaluer. Conscients de l’effet modéré des traitements, nombre de médecins privilégient une approche non médicamenteuse, mais dénoncent aussi le manque de fonds alloués à la recherche
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